LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,
Vu la Constitution ;
Vu le décret N°2015-0003/P-RM du 08 janvier 2015 portant nomination du Premier ministre ;
Sur proposition du Premier ministre,
DECRETE :
Article 1er : Sont membres du Gouvernement en qualité de :
1. Ministre de l'Administration Territoriale
Monsieur Abdoulaye Idrissa MAIGA
2. Ministre de la Défense et des Anciens Combattants
Monsieur Tiéman Hubert COULIBALY
3. Ministre des Mines
Professeur Tiémoko SANGARE
4. Ministre de la Sécurité et de la Protection Civile
Général de Brigade Salif TRAORE
5. Ministre de la Solidarité et de l'Action Humanitaire
Monsieur Hamadou KONATE
6. Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Internationale et de l'Intégration Africaine
Monsieur Abdoulaye DIOP
7. Ministre de la Justice et des Droits de l'Homme, Garde des Sceaux
Maitre Mamadou Ismael KONATE
8. Ministre de la Décentralisation et de la Réforme de l'Etat
Monsieur Mohamed AG ERLAF
9. Ministre de l’Economie et des Finances
Docteur Boubou CISSE
10. Ministre de la Réconciliation Nationale
Monsieur Mohamed AL MOCTAR
11. Ministre des Maliens de l'Extérieur
Docteur Abdourhamane SYLLA
12. Ministre de la Promotion de l'Investissement et du secteur privé
Monsieur Konimba SIDIBE
13. Ministre des Domaines de l'Etat et des Affaires Foncières
Maître Mohamed Ali BATHILY
14. Ministre de l'Agriculture
Monsieur Kassoum DENON
15. Ministre de l'Elevage et de la Pêche
Docteur Nango DEMBELE
16. Ministre de l'Education Nationale
Professeur Kénékouo dit Barthélémy TOGO
17. Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la recherche scientifique
Professeur Assétou Founè Samaké MIGAN
18. Ministre de l'Economie Numérique et de la Communication, Porte- parole du Gouvernement
Maître Mountaga TALL
19. Ministre de l'Equipement, des Transports et du Désenclavement
Madame TRAORE Seynabou DIOP
20. Ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme
Monsieur Ousmane KONE
21. Ministre du développement industriel
Monsieur Mohamed Aly Ag IBRAHIM
22. Ministre de l'Emploi et de la Formation Professionnelle
Monsieur Mahamane BABY
23. Ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique
Dr Marie Madeleine TOGO
24. Ministre du Travail et de la Fonction Publique chargé des Relations avec les Institutions
Madame DIARRA Raky TALLA
25. Ministre du Commerce
Monsieur Abdel Karim KONATE
26. Ministre de l'Energie et de l'Eau
Monsieur Malick ALHOUSSEINI
27. Ministre de l'Environnement, de l'Assainissement et du Développement Durable
Madame Keita Aida MBO
28. Ministre de l’Aménagement du Territoire et de la Population
Monsieur Sambel Bana DIALLO
29. Ministre de la Culture
Madame N'DIAYE Ramatoulaye DIALLO
30. Ministre de I'Artisanat et du Tourisme
Madame Nina WALET INTALLOU
31. Ministre de la Promotion de la Femme, de l'Enfant et de la Famille
Madame SANGARE Oumou BAH
32. Ministre des Sports
Monsieur Housseini Amion GUINDO
33. Ministre des Affaires Religieuses et du Culte
Monsieur Thierno Amadou Omar Hass DIALLO
34. Ministre de la Jeunesse et de la Construction Citoyenne
Amadou KOITA Monsieur

Article 2 : le présent décret, qui abroge toutes les dispositions antérieures contraires, notamment celles du Décret N°2016-0022/P-RM du 15 janvier 2016 portant nomination des membres du Gouvernement, sera enregistré et publié au Journal Officiel.
Bamako, le 07 juillet 2016
Le Président de la République
Ibrahim Boubacar KEITA
Le Premier ministre
Modibo KEITA

Participation virtuelle de son excellence le ministre Abdoulaye Diop à la session du conseil de sécurité de l'ONU sur le renforcement et l'extension du mandat de la MINUSMA: techniquement assuré par le ministère de la santé et de l'hygiène publique à travers l'ANTIM.

C'était ce jour 29 juin 2016 dans le bureau du ministre en charge des affaires étrangères que le ministre Diop à participé par visioconférence à la session du conseil de sécurité consacrée à la minusma. La participation a été assurée par l'équipe responsable des visioconférences de l'ANTIM. Etaient à la manœuvre les compétences comme Moussa Coulibaly et Badara Aliou Diakite.

Le ministre était particulièrement heureux pour cette belle prestation effectuée grâce à l'ANTIM qui confirme l'expertise malienne dans le domaine des TIC. Nous sommes un service public qui gagne!

 Apprécier en images

L'équipe du service de chirurgie thoracique de l'hôpital du Mali a réalisé sa première chirurgie endovasculaire le lundi 27 juin 2016 sur un sujet de 41 ans qui souffrait de fistule artério-veineuse. Les premiers examens radiologiques de contrôle indiquent que l'intervention a été une réussite totale.
La chirurgie endovasculaire est une intervention mini invasive qui utilise le sent couvert (une prothèse), introduit dans les vaisseaux à travers une ponction artérielle. Ce dispositif ultra moderne permet au chirurgien d'obturer la communication anormale entre l'artère et la veine. L'intervention effectuée avec brio par l'équipe du Pr Sadio YENA a été supervisée par le Pr François SANDREAU , un célèbre praticien de la clinique mutualiste de l'Orient en France.

Le Ministère de la santé est représenté par le Directeur Général de l'Agence Nationale de Télésanté et d'Informatique Médicale (ANTIM) à l'atelier national d'élaboration des éléments de la stratégie nationale de lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent au CICB les 28,29 et 30 juin 2016.
La consultation a pour but d'associer tous les acteurs de la sécurité humaine globale des niveaux national et régional aux discussions sur les éléments d'une stratégie nationale de lutte antiterroriste et de prévention de l'extrémisme violent en occurrence, les ministères clés du secteur de la sécurité, les prestataires étatiques de la sécurité, les organisations de la société civile, les représentants de l'Etat au niveau régional, les regroupements d’organes directifs de collectivités territoriales aux niveaux régional, local et communal et les structures régionales et locales de l'éducation, de la jeunesse et des femmes et les Partenaires Techniques et Financiers.

Comment offrir un service public de santé à tous les citoyens maliens ?

Une semaine durant (du 14 22 juin 2016), Dr Togo Marie Madeleine, Ministre de la santé et de l’hygiène publique  était en visite à Mopti dans la 5^ème région la  Venise Malienne. Elle était accompagnée d’une forte délégation. En plus de Mopti, Mme le Ministre a visité certaines localités du cercle de San. Au cours de cette étape, elle a été  sollicitée par des vieilles personnes qui souffrent de la maladie de parkinson. Séance tenante, elle  a donné des instructions fermes pour une prise en charge efficace et efficiente de ces derniers. Ce qui dénote de la promptitude de Dr Togo Marie Madeleine à gérer les situations d’urgence. Ce geste  du Ministre a été fortement apprécié par la population locale. Les personnes malades et leurs parents qui n’avaient plus d’espoir venaient de retrouver une solution à leurs problèmes de santé. Et mieux, la population locale s’est dite honorée et considérée par les pouvoirs politiques à travers le geste fort de Madame la Ministre de la Santé et de l’hygiène publique. Ensuite, la délégation s’est rendue à Fangasso, puis à Wan ou il existe un Centre  de l’ONG Gavardo. 

A l’étape de Mopti, la population s’est fortement réjouie de la visite de la Ministre de la santé qui native du terroir. Le  ministre de la santé et de l’hygiène publique et son équipe se sont rendus à l’hôpital Régional Sominé Dolo et puis au Centre de Santé de référence. Sur place, le Ministre a constaté la détermination des agents socio professionnels de la santé de Mopti à réaliser les missions qui leur reviennent. Elle les a encouragé à redoubler d’efforts et tenir haut le flambeau patriotique. Le Dr Togo Marie Madeleine a transmis, aux fervents artisans de la santé au nom du Président de la République, le Premier Ministre et l’ensemble du gouvernement les félicitations et les encouragements les plus sincères (CONFUS). Le Ministre de la santé et de l’hygiène publique a demandé aux professionnels de la santé de Mopti la mutualisation des moyens pour la réussite de leur mission et de se mettre au service de la population locale en intégrant ses besoins en soins de qualité.

Après l’étape la ville de Mopti, la délégation ministérielle s’est rendue à Bandiagara, Bankass et Koro. A toutes ces étapes, Dr Togo Marie Madeleine s’est rendu compte de la disponibilité du personnel de la santé et de leur engament pour l’accomplissement de leur mission, cependant on pouvait constater une vétuscité des installations médicales.  Des instructions ont été données à la CEPRIS structure spécialisée pour les problèmes d’infrastructures au Ministère de la santé et de l’hygiène publique de trouver la solution. Il sera certainement procédé à des rénovations de locaux et à des réhabilitations.

Cette visite du Ministre de la santé et de l’hygiène publique s’inscrit en droite ligne dans la vision politique du Président de la République  S.E Ibrahim Boubacar Keita et de la lettre de mission du Premier Ministre Mr Modibo Keita. Elle a permis de faire un état de lieu et d’agir efficacement au bénéfice de la population. Le message fort était que chaque acteur à quelque niveau qu’il soit, puisse donner le meilleur de soi dans le développement du service public de santé. Dans l’espoir de telles missions initiées déjà à plusieurs reprises par le Dr Togo Marie Madeleine puissent continuer et se renforcer. Les visites de terrain permettent de toucher de plus près les problèmes et d’apporter des solutions rapides et efficaces. Le Dr Togo Marie Madeleine devrait être encouragée et soutenue pour le déploiement d’un système de santé national de qualité au service de nos populations de Bamako et surtout des régions.

Du 15 au 21 juin 2016, Mme la Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique Dr Marie Madeleine TOGO a effectuée  une visite de terrain dans quelques structures de santé des régions de Ségou et Mopti.

Cette visite de terrain avait pour but:

• avoir des échanges directs avec le personnel socio-sanitaire sur leurs conditions de vie et de travail et sur les moyens de surmonter les difficultés rencontrées dans l'exercice de leurs fonctions,
• échanger avec les populations, prendre leurs avis par rapport à la qualité des soins de santé qui les sont offerts
• encourager le personnel socio-sanitaire,
• et donner des orientations et des instructions pour améliorer la qualité des soins.

'' Je voudrais remercier le personnel sanitaire, les autorités régionales et locales, les notabilités ainsi que toutes les populations des régions de Ségou et de Mopti pour l’accueil chaleureux qu’ils ont reservé à notre déléguation.
je voudrais également remercier les forces armées et de sécurité du Mali pour leur accompagnement tout au long de notre séjour. Que Dieu veille sur elles et les protège de tout mal (amen)" Avec ces mots de joie et satisfaction Mme la ministre a montrée sa reconnaissance.

Les structures visitées sont les suivantes:

- le centre paroissal de santé de Mandiakuy
- le centre de santé de référence de Tominian
- le centre de santé communautaire de Fangaso
- le centre de santé communautaire de Ouan
- l'hôpital Sominé Dolo de Mopti
- le centre de santé de référence de Mopti
- le centre de santé de référence de Bandiagara
- le centre de santé de référence de Bankass (inauguration)
- le centre de santé de référence de Koro
- le centre de santé de référence de Djéné

Retrouvez plus d'image sur notre page facebook

Face à la stagnation des différentes politiques visant l’appropriation, par les populations, des services de la Santé de la reproduction (SR) et Planning familial (PF), le Gouvernement malien et l’Unicef ont signé un accord de partenariat afin d’apporter un souffle nouveau à ce combat. Et ce sont trois régions et le district de Bamako qui ont été choisis pour ce présent projet, dont le lancement officiel a eu lieu à l’hôtel Azalaï-Salam ce vendredi 17 juin.

1 724 500 dollar US, c’est en substance le montant du projet d’accroissement de la demande et de l’utilisation des services de la Santé de la reproduction (SR) et Planning familial (PF). Emanant d’un partenariat entre le Gouvernement malien et l’Unicef sur financement de la Banque mondiale, il est prévu pour couvrir les régions de Koulikoro, Ségou, Sikasso et le district de Bamako (plus précisément dans sa périphérie). Du fait que ce sont ces zones qui affichent les plus faibles taux d’utilisation des services de SR/PF. Selon les différents intervenants lors de ce lancement, les chiffres dépeignent une situation des plus alarmantes.

Pour preuves, l’Enquête par Grappe à indicateurs multiples au Mali (Misc-Mali 2015) révèle que « le taux de fécondité (c’est-à-dire le nombre de femmes qui donnent naissance sur un total de 1000) chez les adolescentes et les jeunes femmes âgées de 15 à 19 ans est de 151. Quant aux femmes âgées de 20 à 24 ans, 36,5% d’entre elles ont eu au moins une naissance vivante avant l’âge de 18 ans». Et ce n’est pas tout. Puisque la même enquête, se prononçant sur l’accès de la gent féminine aux services de SR/PF, indique que «seul 15,6% des femmes maliennes ont recours à des méthodes contraceptives modernes ou traditionnelles ». Sans oublier que, selon toujours le Misc-Mali 2015, «15,8% des femmes de 15 à 49 ans actuellement mariées ou en union, fécondes et qui souhaitent espacer leurs naissances ou limiter le nombre d’enfants, n’utilisent pas une méthode de contraception».

Tout ceci, ajouté au fait que «¾ des décès maternels dans le monde surviennent pendant l’accouchement ou dans la période post-accouchement alors que cela est évitable », le Gouvernement malien et son partenaire, l’Unicef, ont entrepris, par le présent projet, de renforcer le combat en suscitant l’émulation chez 300 000 femmes et adolescentes âgées de 15 à 19 ans à faire de la fréquentation des 652 Centres de santé de référence (Csref) et Centres de santé communautaires (Cscom) du Mali un réflexe aussi naturel que de s’approvisionner en eau. Dans l’objectif qu’elles soient mieux outillées sur l’utilisation des services de la santé de la reproduction et le planning familial.

Pour produire l’effet escompté, c’est-à-dire amener le plus de femmes et d’adolescentes en âge de procréer à avoir un meilleur accès à des services de planification familiale de qualité et à des soins prénataux et d’accouchement sûrs, le projet sollicitera, en plus des agents de santé, la contribution des leaders religieux, communautaires, de jeunesse et de femmes pour une campagne de proximité épousant les désidératas socioculturels et religieux du Mali. Il faut noter qu’une plateforme a été créée sur Facebook pour plus d’interaction avec le public cible.
Pour ce lancement, l’on trouvait à la table de séance, Dr Doucouré Arkia Diallo de l’UCP/Prsr, Dr Bakary Diarra, Secrétaire général du ministère de la Santé, Assana Diawara, Directeur technique du ministère de l’Economie numérique et de la Communication, Boubacar Daou de la Banque mondiale et enfin Alessandra Dentice, Vice-représentante de l’Unicef au Mali.

Abdoulaye KONATE
Le Prétoire

Le Secrétaire Général du Ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique Bacary Diarra a présidé ce matin à l’hôtel Salam la cérémonie de lancement du projet d’accroissement de la demande et l’utilisation des services de santé de la reproduction et planification familiale dans les régions de Koulikoro, Sikasso, Ségou et le district de Bamako .

Ils étaient également présent le Ministère de la communication, l'UNICEF, la Banque Mondiale et la presse.

Retrouvez le discours de Dr Bacary DIARRA Secretaire Général du Ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique:

Monsieur le Représentant du Secrétaire Général du Ministère de l’Economie Numérique et de la Communication ;
Mme la Conseillère Technique   représentant, le Ministre en charge de la famille
Monsieur le Directeur des Opérations de la Banque Mondiale ;
Monsieur le Représentant de l’UNICEF ;
Mesdames / Messieurs les Représentants des PTF ;
Mesdames / Messieurs les Représentant des ONG et Associations nationales et Internationales ;
Mesdames et Messieurs les représentants des départements ministériels ici présents
Honorables invités!
Mesdames et Messieurs de la presse écrite et orale, grands témoins devant l’histoire.
Le MSHP a bien voulu être là pour rehausser d’avantage l’éclat de cette cérémonie, mais pour des raisons de visite de nos structures de santé des régions de Ségou et Mopti, elle m’a chargé de vous adresser ses salutations et ces quelques mots.

Mesdames et Messieurs,

La cérémonie qui nous réunit aujourd’hui est importante à plus d’un titre, car il s’agit du lancement d’un projet d’accroissement de la demande et de l’utilisation des Services de Santé de la Reproduction et Planification Familiale dans les régions de Koulikoro, Sikasso, Ségou, et le District de Bamako.

Ce projet attend amener 300 000 femmes et adolescentes âgées de 15 à 49 a fréquenté les services de PF dans 652 centres de santé, d’ici février 2017 et cela avec une contribution de 1 724 500 $US soit près d’un milliards de FCFA.

Mesdames et Messieurs,

Il y’a lieu de se demander pourquoi

En effet, malgré les efforts jusqu’ici fournis par le gouvernement malien et ses partenaires, les indicateurs en matière de santé maternelle, néonatale et infantile n’évoluent pas de manière satisfaisante.

Comme preuve

Selon EDSM V de 2012-2013, la moralité maternelle est de 368/100 000 naissances vivantes, en d’autres termes, au Mali chaque année environ 2 400 femmes meurent des complications de la grossesse et de l’accouchement, soit un décès toutes les  trois heures et cela sans compter les complications diverses.

De la même source, la mortalité néonatale est de 34 pour mille et la mortalité infantile 56pour mille.

La prévalence contraceptive demeure encore faible, de l’ordre de 10,3% et l’indice synthétique élevé, 6,1 par femme.

Il faut noter que les adolescentes (10 à 19 ans) contribuent pour  14% à la fécondité. Cette frange de la population se caractérise par sous information conséquence de son faible accès aux informations capitales et l’inexpérience.

Mesdames et Messieurs,

Face à cette situation, ce projet vient à point nommé, car conformément aux orientations données par les plus hautes autorités du Mali, sous la bienveillance de son Excellence, Monsieur Ibrahim Boubacar KEITA, Président de la République, Chef de l’Etat, il permettra la mise en œuvre de stratégies de communication pour le développement basées sur la participation et l’engagement des bénéficiaires que sont les femmes, les adolescents, les jeunes, les chefs de ménage, les leaders religieux et communautaires ainsi que les responsables du système de santé et du développement en général.

Aussi, la mise en œuvre des activités prévues par le projet, à savoir entre autres :

• information, l’éducation et la communication pour le changement de comportement à travers les relais, les ASC compétents et les jeunes en milieu scolaire,
• l’organisation de journées spéciales SR/PF,
• la contractualisation avec les  media publics et privés afin de diffuser des messages en faveur de la SR/PF,
• l’utilisation des réseaux sociaux,
• la promotion de l’expérience de l’école des maris,

vise à amener les bénéficiaires à mieux connaitre et faire davantage confiance aux services de santé de la reproduction disponibles dans les structures de santé.
Mesdames et Messieurs, chers invités,
J’invite les différents acteurs s’engager  sans réserve afin de conduire la mise en œuvre du projet conformément aux orientations stratégiques définies.

Pour ma part, je vous donne l’assurance que mon département ne ménagera aucun effort pour faciliter et veiller à l’exécution du projet en vue de l’atteinte des objectifs.
Je voudrai saisir l’occasion pour réitérer mes sincères remerciements aux partenaires techniques et financiers et particulièrement la Banque Mondiale et l’UNICEF pour leur accompagnement constant dans la mise en œuvre des programmes en faveur de la santé de la reproduction et la planification familiale.
C’est sur ces quelques notes que je déclare, lancé le projet d’accroissement de la demande et de l’utilisation des Services de Santé de la Reproduction et Planification Familiale.

 
Je vous remercie.

Retrouvez plus d'image sur notre page facebook

le Mali à l’instar de la communauté internationale célèbre le 14 juin de chaque année, la Journée Mondiale du Don de Sang.
La cérémonie de lancement de cette journée aura lieu demain 14 juin 2016 à 09H au CICB sous les thèmes « Le Sang,un lien universel » et « Religions et don de sang »
Placée sous la coprésidence de Madame le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique et du Ministre des Affaires Religieuses et du Culte,
Cette année, la campagne est organisée sur le thème suivant: «Le sang, un lien universel». Elle vise à remercier les donneurs de sang et met l’accent sur la notion de «partage» et de «lien» qui unit les donneurs de sang et les patients En outre le slogan adopté cette année: «Partagez la vie, donnez votre sang» attire l’attention sur le rôle des systèmes de dons volontaires pour encourager les gens à prendre soin les uns des autres et pour promouvoir la cohésion sociale.

En savoir plus sur l'OMS

Les personnes qui suivent le ramadan doivent suivre quelques recommandations pour faire le jeûne sans risque pour leur santé. Avant toute chose, il est indispensable de s'hydrater et de bien s'alimenter au cours de la période de rupture du jeûne. Nous vous partageons ces 6 conseils pour passer un bon ramadan.

Ramadan : l'importance de bien s'hydrater

L'hydratation doit être le mot d'ordre de cette période de ramadan. Dès la rupture du jeûne , les usagers doivent boire en grande quantité . Chacun ne doit également pas oublier de s'hydrater juste avant la reprise du jeûne.

Ramadan : une alimentation saine

Il vaut mieux privilégier une alimentation saine lors de la rupture du jeûne et ne pas se jeter sur les pâtisseries et sucreries qui, même en grande quantité, ne combleront pas la faim et perturberont l'organisme.
La rupture du jeûne ne doit pas être synonyme de repas trop copieux. Non seulement un repas abondant perturberait l'organisme, mais en plus cela pourrait favoriser les troubles du sommeil.

Avant de repartir pour une journée de jeûne, il est recommandé de consommer des fruits pour l'apport en vitamines et surtout des sucres lents tels que de la semoule et des céréales pour tenir tout au long de la journée. A ce titre, il est important de bien manger avant le lever du soleil.

Ramadan : le bon rythme à suivre

Même si le jeûne s'étend du lever au coucher du soleil, les usagers doivent essayer de faire trois repas au cours de la journée : le premier avant le lever du jour, le second à la rupture du jeûne et le troisième quelques heures (compter 2 ou 3 heures) après.
Si cela est possible, une sieste peut s'imposer en début d'après-midi. La période estivale invite même davantage les usagers à s'initier à cette pratique afin de leur permettre de reprendre des forces pour le reste de la journée.

Ramadan :se prémunir du soleil

Il est conseillé d'éviter le soleil et la chaleur durant le mois du ramadan. Chacun doit privilégier les pièces fraîches à l'intérieur et l'ombre à l'extérieur pour ne pas s'affaiblir trop rapidement.

Ramadan : les personnes à risque

Les patients atteints de diabète sont invités à suivre régulièrement leur taux de glycémie, à s'hydrater en abondance et à fuir les sucreries pour réduire les risques sanitaires liés à cette période de jeûne.
Les personnes fragiles souhaitant faire le ramadan, à savoir les femmes enceintes, les personnes âgées ou encore les patients atteints d' hypertension ou d'asthme, sont appelées à consulter leur médecin traitant dès le moindre signe anormal.
Pour une plus grande sécurité, il est recommandé de se rendre chez son médecin avant et après le ramadan.

Ramadan : peu ou pas de sport

Même si la période du ramadan n'a aucune conséquence majeure sur la santé des usagers, il est important de réduire au maximum les efforts physiques. Les sportifs doivent notamment faire très attention à ne pas se surpasser durant le mois du ramadan.

Source: TopSanté