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Une première, un africain vient d'etre élu à la tête de l'OMS : Qui est-il?

Il s'appelle Tedros Adhanom Ghebreyesus et vient d'être élu, mardi, à la tête de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Agé de 52 ans, l'ancien ministre éthiopien de la Santé devient ainsi le premier Africain à diriger l'une des plus influentes agences de l'ONU.

C'est la première fois qu'un Africain va diriger l'OMS, une des agences de l'ONU les plus puissantes. L'Ethiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus a été élu mardi 23 mai nouveau directeur général de l'OMS (Organisation mondiale de la santé), l'emportant au 3ème tour devant le Britannique David Nabarro. "C'est un jour historique pour l'Ethiopie et pour l'Afrique", s'est exclamé à l'issue du vote l'ambassadeur éthiopien auprès de l'ONU à Genève, M. Negash Kibret.

Le nouveau chef de l'OMS, une des plus influentes agences des Nations unies dont le siège est à Genève, prendra le 1er juillet la succession de la Dr Margaret Chan (Chine) qui a dirigé l'institution pendant 10 ans. L'ex-ministre éthiopien de la Santé et chercheur renommé sur le paludisme, âgé de 52 ans, était arrivé déjà en tête du premier tour et du 2ème tour, mais n'avait pas obtenu la majorité des deux-tiers des voix requises. Son challenger, le Dr David Nabarro, 67 ans, a été envoyé spécial de l'ONU pour la lutte contre Ebola. Au 1er tour, trois candidats se sont affrontés, mais celui qui a obtenu le moins de voix a été éliminé. Il s'agissait de la cardiologue et ancienne ministre de la Santé pakistanaise, le Dr Sania Nishtar.

C'est la première fois que trois candidats se sont affrontés pour devenir directeur général de l'OMS, une institution critiquée pour son manque de transparence. Auparavant, seul un unique candidat, proposé par le Conseil exécutif de l'OMS, était soumis au vote de l'Assemblée mondiale de la Santé, qui procédait à la nomination finale.

Une élection sur fond de crise

Le Dr Tedros prendra la tête d'une agence qui a été notamment critiquée pour son manque de discernement sur la gravité de l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest entre fin 2013 et 2016, qui a fait plus de 11.300 morts. La Chinoise Margaret Chan a reconnu lundi, dans un discours prononcé devant l'Assemblée mondiale de la santé, qui réunit une fois par an les pays-membres de l'OMS, que l'épidémie avait "pris tout le monde, y compris l'OMS, par surprise".

Dans son intervention pour présenter sa candidature et son programme, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, 52 ans, a raconté avoir perdu, alors qu'il était enfant, un frère qui n'avait pas reçu les médicaments nécessaires. Il avait alors indiqué "refuser d'accepter que les gens meurent parce qu'ils sont pauvres". "Je fais les promesses suivantes: travailler sans relâche pour concrétiser la promesse de garantir la couverture sanitaire universelle, veiller à ce qu'il y ait des ripostes solides dans les situations d'urgence", a-t-il déclaré dans son plaidoyer...

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Don d'équipements médicaux par la fondation zakat au MSHP

Ce matin dans la salle de réunion du ministère de la sante et de l'hygiène publique, le ministre a reçu au nom de ces collaborateurs et de toutes les futures structures bénéficiaires un important don de matériels et d'intrants médicaux de la part de la fondation zakat de l'Amérique.

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Le ministre Sow reçoit l'ensemble des syndicats pour propulser le dialogue social

Ce mardi 16 mai 2017 dans le cadre de la poursuite du dialogue social et de maintenir une dynamique proactive de résolution des difficultés, le ministre Professeur Samba Ousmane Sow reçoit l'ensemble des forces sociales de son département pour échanger sur le cadre de concertation entre le Ministère de la santé et de l'hygiène publique et les partenaires sociaux.

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Communiqué

Le vendredi 12 mai 2017, le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique a été saisi par le Bureau pays de l’Organisation Mondiale de la Santé de la survenue d’une épidémie de la Maladie à Virus Ebola en République Démocratique du Congo (RDC) en Afrique Centrale. 

Aussitôt informé, le Ministère a fait une analyse de la situation assortie de directives nécessaires. 

Une réunion d’urgence s’est tenue ce samedi 13 mai 2017 sous la présidence du  Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique entouré des membres de son cabinet, des acteurs du Département de la Santé, de l’OMS et du Centre de surveillance américain (CDC). 

Cette réunion a permis de prendre les mesures suivantes :

- le renforcement de la surveillance épidémiologique aux frontières aériennes, terrestres et à l’entrée des établissements de santé,

- le renforcement de la capacité de riposte des agents de santé,

- le renforcement des mesures d’hygiène individuelle et collective notamment le lavage des mains au savon.

 

Le Ministre tient par la même occasion à rappeler que le Mali a été déclaré « libéré d’Ebola » depuis le 18 janvier 2015 grâce à l’engagement des plus hautes autorités, de l’ensemble des populations et des partenaires.

 

Bamako, le 13 mai 2017

 

Le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique

Pr Samba S

Réunion d'urgence sous la présidence du Ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique sur EBOLA en République Démocratique du Congo en présence du représentant de l'OMS

Ce matin dans la salle de réunion du CNAM s'est tenue la rencontre d'urgence du DOU-SP sur l'épidémie d'EBOLA sévissant actuellement en république démocratique du Congo (RDC). C'était sous la présidence du Ministre Samba Ousmane Sow.

La sitution de l'épidémie en RDC a été analysée avec 9 cas de fièvre hémorragique dont 2 décès notifiés  dans la zone de Litaki territoire d'Aketi dans la province de Bas-Uele. Sur 5 échantillons de sang prélevés chez les cas suspects et analysés, un s'est révélé positif au virus Ebola stéréotype Zaïre par RT-PCR.
Ce qui fait que la RDC est en situation d'épidémie qui constitue une urgence de santé publique de portée internationale.
Ceci nécessitant que le Mali prenne toutes les mesures nécessaires pour la prévention. 
Le professeur Sow, ministre en charge de la santé en responsable aguerrie face à cette situation pour avoir bien géré l'épidémie  il y'a quelques années a déclenché le dispositif de riposte du Mali.
Ce qui l'as conduit à visiter le centre de traitement et d'isolement et à donner les instructions nécessaires pour que le dispositif soit opérationnel à 100%, 7jours sur 7 et 24h sur 24h.
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Cérémonie de remise de décorations

Le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique Pr Samba SOW accompagné par le Grand Chancelier des Ordres Nationaux du Mali ont procédé à la remise de décorations au personnel de la santé. La cérémonie officielle s'est tenue hier (Jeudi 11 mai 2017) à l'Esplanade du CNAM sise à Djikoroni Para.
Revivez la cérémonie en images.

Atelier d'évaluation interne des capacités du Mali dans la mise en œuvre des dispositions du règlement sanitaire international - 2005


En avril 2017, le Mali s’est engagé par courrier officiel adressé à l’OMS, à mener les évaluations interne et externe des capacités du pays à mettre en œuvre les dispositions du RSI.  L’évaluation externe conjointe est programmée  pour juin 2017 et l’évaluation interne devra être réalisée en mai 2017.

C'est dans ce cadre que s'est tenu l'atelier d'évaluation du RSI  le lundi 08 mai 2017, dans la salle de réunion de l’INRSP.



Le Règlement Sanitaire International (RSI) est un accord juridique international qui lie les 196 États parties de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).  L’objet et la portée du RSI (2005) consistent à «prévenir la propagation internationale des maladies, à s’en protéger, à la maîtriser et à y réagir par une action de santé publique proportionnée et limitée aux risques qu’elle présente pour la santé publique, en évitant de créer des entraves inutiles au trafic et au commerce internationaux». Retrouvez les presentations et le TDR en téléchargement ci-dessous.

Visite de l’Ambassadrice de France au Mali au Centre pour le Développement des Vaccins (21 avril 2017)

Le 21 avril 2017, l’Ambassadrice de France au Mali, Mme Evelyne Decorps, a visité le Centre pour le Développement des Vaccins – Centre National d’Appui à la lutte contre la Maladie (CVD-CNAM) situé à Bamako.
Cette structure a été créée par la France en 1930 sous le nom d’Institut Central de la Lèpre, puis d’Institut Marchoux. Depuis 1998, sa gestion est entièrement assurée par les autorités maliennes.
L’Ambassadrice de France au Mali a été accueillie par le Ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le professeur Samba Sow, ancien directeur du centre, qui lui a présenté les unités de recherche dédiées à la vaccinologie tropicale, en particulier celles destinées à la lutte contre la mortalité infantile (rotavirus, méningite).


Dans son intervention, l’Ambassadrice de France a salué la qualité des résultats obtenus par la recherche scientifique au sein de cet établissement et a souligné sa fierté de voir l’héritage du Docteur Emile Marchoux (1862-1943) préservé. Le CVD-CNAM a hébergé pendant la crise Ebola au Mali le centre des opérations d’urgence, soutenu notamment par la France, à travers la mise en place d’une assistance technique, de deux médecins épidémiologistes et d’une équipe de la réserve sanitaire EPRUS.
Pour sa part, M. le Ministre Sow a appelé de ses vœux le développement de partenariats scientifiques fructueux avec les acteurs de la recherche française.

Source: Ambassade de France au Mali

Biographie de Pr. Samba SOW

Le Pr. Samba Ousmane SOW est le nouveau ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique.

 

Directeur général du centre national de lutte contre la maladie (CNAM) jusqu’à sa nomination en tant que ministre de la santé, le professeur Samba Sow est surtout connu pour ses efforts dans la lutte contre l’épidémie d’Ebola. Pour son implication dans la lutte contre cette maladie et d’autres épidémies, il a été érigé au rang de «chevalier de l’ordre national de la légion d’honneur de la république de France » par décret en date du 25 janvier 2017.

Le nouveau ministre de la santé est détenteur d’un bac scientifique obtenu au lycée Askia Mohamed de Bamako. Il devient docteur après avoir terminé ses études à l’école nationale de médecine et de pharmacie du Mali (ENMP). Il est également titulaire d’un master en science de la London SCHOOL  of hygiène and tropical médecine.

Au cours de sa carrière professionnelle, il a apporté une contribution substantielle à la vaccination fondamentale, la photogenèse bactérienne et la recherche clinique. Il a par ailleurs été d’un grand apport à l’avancée des recherches sur l’épidémiologie de terrain, ainsi qu’à l’amélioration de la politique de santé  publique au Mali et en Afrique subsaharienne.

Avec plus de 90 articles scientifiques et chapitres, le professeur SOW est la première personnalité noire à intégrer la  commission médicale et scientifique de la Fondation Raoul Follereau  depuis sa création il y a 70 ans. Il est par ailleurs membre suppléant de l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) et membre honoraire international de l’American Society of Tropical Médicine and Hygiène (FASTMH).

Pour son expertise avérée dans son domaine, Samba Sow avait bénéficié, en 2014, de la confiance du président de la république qui l’a nommé conseiller spécial sur les questions de santé.

Le récipiendaire du Prix LAVIRON  de Médecine Tropicale a sans contexte la main sur les épaules. Samba Sow est un homme d’expérience en matière de santé qui  semble être à sa place en tant que ministre de la santé.

 

Issa Coulibaly